L’habitat plutôt une poésie qu’un modèle.
Pourrions-nous faire en sorte que le lieu de l’habitat s’adapte plus facilement aux nouvelles aspirations.
Et s’il n’y avait plus de maisons, mais plutôt des espaces à vivre issus d’un rapprochement de plusieurs démarches artistiques, d’une nouvelle maîtrise de la petite échelle. Pourrions-nous inventer des lieux, laboratoires d’apprentissage à la sensibilité de l’espace créés juste pour voir quelque chose d’unique ?
Une limite génératrice ouverte vers d’autres lieux, mille lieux, milieux?
Une limite épaisse végétale est productrice des besoins en eaux et combustible. Une lame fonctionnelle en bois, regroupe l’ensemble des besoins de l’habitat. La tranche de vie est l’espace de vie et d’expression. Le carré désuet symbolise l’entrée comme espace de représentation. Le terrain fou est le jardin dénormé qui s’adapte aux territoires. Les cadres à paysage contiennent la limite épaisse et dévoilent le paysage. La palette végétale et les touches à paysage sont les instruments donnés aux utilisateurs pour embellir ou non leur cadre de vie.
